Glossaire du
digital learning
Il y a 3 noms dans ce répertoire commençant par la lettre I.
IHM
Cela désigne l’ensemble des dispositifs permettant l’interaction entre l’ordinateur et son utilisateur.
Interfaces de restitution : écran, lunettes 3D stéréoscopiques.
Interfaces combinés : écran tactile, commande à retour d’effort.
• Des lunettes 3D (actives ou passives) qui permettent d’avoir un rendu 3D d’une image provenant d’un écran externe
• Des lunettes 3D stéréoscopiques qui intègrent deux écrans (un par œil) afin de simuler la troisième dimension
On parle de lunettes 3D stéréoscopiques et gyroscopiques quand celles-ci intègrent un détecteur de mouvement afin de modifier l’affichage en fonction de la position de la tête.
Définition
IHM est l’acronyme d’Interface Homme-Machine.Cela désigne l’ensemble des dispositifs permettant l’interaction entre l’ordinateur et son utilisateur.
Ce qu’il faut retenir
Interfaces d’acquisition : clavier, souris, joystick, capteur de mouvement (WiiMote, Kinect…), microphone.Interfaces de restitution : écran, lunettes 3D stéréoscopiques.
Interfaces combinés : écran tactile, commande à retour d’effort.
En plus
Les lunettes dites 3D peuvent être de plusieurs types :• Des lunettes 3D (actives ou passives) qui permettent d’avoir un rendu 3D d’une image provenant d’un écran externe
• Des lunettes 3D stéréoscopiques qui intègrent deux écrans (un par œil) afin de simuler la troisième dimension
On parle de lunettes 3D stéréoscopiques et gyroscopiques quand celles-ci intègrent un détecteur de mouvement afin de modifier l’affichage en fonction de la position de la tête.
IMMERSIVE LEARNING
L’immersive learning ou apprentissage immersif fait appel à la conception d’un environnement créé à partir d’images de synthèse en 3 dimensions, dans lequel l’apprenant est plongé d’une manière immersive (lunettes, casques et écrans) et proposant un espace de simulation idéal pour la formation, particulièrement quand la situation présente un risque ou une difficulté dans la vie réelle.
INDUSTRIE DU FUTUR
Les allemands l’appellent l’« industrie 4.0 », les Américains le « smart manufacturing ». En France, on parle plutôt d’« industrie du futur ». Depuis 2015, l’industrie du futur fait l’objet d’une mobilisation nationale en faveur de la modernisation de l’outil de production et de la transformation du modèle économique des entreprises industrielles par le biais des technologies nouvelles, digitales et non digitales. Objectif : remédier au retard accumulé en termes d’équipement et d’intégration des technologies du numérique et gagner en compétitivité.